Mythes et Dieux des Indo-Européens
Mythes et Dieux des Indo-Européens
de George Dumézil
Résumé :
Ce livre traite de la mythologie comparée selon la vision qu'en avait George Dumézil, un grand spécialiste de la question. On y retrouve compilé ses plus importants textes afin de comprendre sa théorie sur l'idéologie tripartie des Indo-européens. Les peuples indo-européens sont ceux qui parlaient les langues indo-européennes. Ce sont les langues italiques, celtiques, germaniques, baltiques et slaves. En étudiant leurs sociétés George Dumézil a mis en avant des très caractéristiques semblables et plus ou moins proche dans la théologie, la mythologie,... Il a constaté que seul les peuples indo-européens avaient plus ou moins, parfois dans leur mode de vie-même l'idéologie tripartie. En gros, c'est la division entre les prêtres-rois, les guerriers et les agriculteurs d'une société.
Mon avis :
C’est un sujet très complexe je trouve, et je vais relire ce livre une seconde fois car je n'ai pas tout compris. J'ai eu de la peine à faire ce résumé, et le pire c'est que j'ai choisis cette œuvre comme travail d'attestation pour l'un de mes cours ! Ce livre est vraiment une bonne initiation pour la mythologie comparée. Comparer entre elles des mythologies de divers peuples peut-être dangereux, mais apporte aussi pas mal de réponses. Il faut cependant faire attention Dumézil a écrit il y a un certain temps déjà, et il est possible que son travail sont déjà complètement dépassé. Il ne faut pas tout prendre au pied de la lettre. Il faudrait que je demande à mon professeur où en est les théories sur le sujet de nos jours.
Extrait du début de la première partie :
"On l'a déjà dit, la question mythologique qui a
préoccupé George Dumézil du début à la fin n'a pas varié : c'est la restitution de la mythologie indo-européenne, mythologie dont on a aucun témoignage direct et qui ne peut être reconstitué que
par la comparaison de ses rejetons dispersés du monde indien à l'extrême Occident irlandais et de la Scandinavie à l'empire hittite. Mais ce cheminement ne s'est pas fait sans heurts :
"Dieu écrit droit sur des lignes courbes", et George Dumézil n'est parvenu à dégager les principes directeurs de sa recherche qu'après une longue période de tâtonnements jusqu'à la découverte
capitale de 1938, qui a ouvert la voie à l'étape des explorations, à laquelle a succédé à la fin de sa vie la période des bilans."